Page:Adhémar d'Alès - Dictionnaire apologétique de la foi catholique, 1909, Tome 3.djvu/364

Cette page n’a pas encore été corrigée

MOÏSE ET JOSUÉ

716

715

1-.„„„nflalrp9 oui d’oiUeurs sont de ce document des ^°^'Yl.^.lZ^, 'Z, ^^sïocle.u milieu du dates assez diverses et ^^'^S^'^'^^^^ 1^ „ison collective J^ v„. (avant C2.) ; on les S ; °"P « /Jf.£, „^, et les Nombres, Nous n’y insistons Pf "" ^J^', "' and rôle dans la Genè.r, ces éléments, qui jouent »  » ^f f" j^^e

-i’S-^-V UE^Va -7- : l : V : aume du Nord devait

^^, ~ „i ses œuvres littéraires consignant par écrit

avoir, lui » "ssi ses œu^ ; „ ; Qn les reconnaîtrait parti '^lT"'^'rt"l’impor^^^^^^

culièrement a 'mp°r ^ ^^^^_^^ ^^^^^^

pays 5'^)=™""^^ if : ^ XX J) en rapport avec l’usage de temps, loi ="'^^"'^'i.ia„f, ée’M'arche ; etc. D’autre part, s. Sichem ; "^ on ^nt^on de anctuaires de l’extrême Sud. ces ^"'"^p"' ; , °"et^ c.ers à toutes les tribus, elles pardent f’T « nce’surTeU ; u du culte spécifiquement judéen d’Hebron_ le ^. « "^^ « ^"^'^'^Xin quelles emploient, ces œuvres sont

  • "'T. LZX nom général d'£/ovi, « - (E). - b) De la

groupées ! » " « "', , "/37ei) les fragments se laissent surtout première d entre f^^^J^^l concernant l’exode (£x. et Num.). reconnaître "^"^, f^„7".„rporé les prophéties de Balaam, C’est elle qui ad « , '^7 '"^^', P°fie rèLe et les victoires de oracles « -" oui lès entou7e elt nofablement plus récent David. ^^^ ; }ZTXodeoù Moab s'étendait au Nord , 1 nous '""^P°7j, ^j'^ > ; Tu bien aux temps antérieurs à la ^^ ' Yîe d’Omrfters S80) ou plus probablement aux temps

les exploits do Jéroboam il l^verb v>"' t^. q

feraZZe E a fait son choix dans l’exploitation des ta S.vrri"Kr. ; ™ : x'5rr=

Consiste en un enRagement basé sur la loi [Ex., xxi", a ?.'EpTacè la promulg^^atfon de la loi « près le rite q"' do, unir nieu et le peuple'. On notera encore, dune part, que J' eônsifne lis cycles parallèles d’Abraham et d’isaac sous eur form prSitive Isaac), tandis que, E^, (-™™ « ^ '^^ ranporte sous leur forme secondaire (Abrahaml- - e) Ve meTe que le Va/nriste, VElo/Uste laisse transparaître dans Tut^^ isal"on dos traditions, ses idées théologiques e' morales et elles sont plus élevées que celles dnral..,.e. La colonne de eu par exemple, le symbole de larche. les nuages qui voilent ï) eu Tl’Ho^eb, les songes, sont autant de moyens l’u^uer les « nthropomorphismes.D’autre par. auteu

témoigne d’une plus çrande ant.palh.e P » " ; , ^^^^^^^''^^'^é. lions du culte populaire, teraphim, dieux étrangers, repré sentitionde Dieu sous la forme d’un taureau sacrifices huntai^s "es sïèles (masscb^'âl, ) ne sont le plus souvent que Ses svmbole commémoratifs. Enfin E'^ éprouve le besoin d’atténuer l’impression causée par certains actes qui, mis au passif des patriarches, lui paraissent en desaccord avec son idéal moral déjà très élevé (cf. G «., xx, 12 ; xxxi, 4-iJ). V) Les préoccupations d'érudition sont, à leur tour, plus fréîlientesVue chez le Valn.iste : noms des personnages secondaires des léeendes iGen., xv, 2 ; xxxv. b ; Air., 1, lO), f^uci de la couleur locale dans le récit des événements qui se sont déroulés en Egypte [Ge, ,., xxxvn 36 ; xl. 41, 4&, Ex I 11- etc). indications de sources littéraires (A « m., xx/'il' ni de 'chronologie (Ge «., xT. 13) ; etc. —g) A no’e^uss quelques particularités de langage : //o « i au heu de5, ' «  « , Amnrrheen au lieu de Cananéen :  ! ffer on Ut ro au lieu de 1Ifibâb fih de R'-ui-l. pour désigner le beaupère de Merise ; sans parler des noms divins. Il y aurait

1. C’est au moins ce qui ressortirait A’Ex., xxiv, 12 (ES Cl), qui vient après le récit de la rénovation de 1 aj. liance (F..-., xxiv, 3-8). D’après E (cf. Ex., xx.x, 12), ^ les lois auraient été données, non pour être la base d une alliance, mais comme point de départ d’enseignements et de décisions destinés au peuple (cf. Ex., xviil, -li, surtout vers. 15, 16).

encore à signaler des formes spéciales au point de vue de a grammaire^ du lexique, du style. - M De même que le ^Yaln^iste. Elohiste [^^) a reçu des compléments suc essifs (E-'). Les premiers sont de peu postérieurs a ' » rédaction principale et ont pris place dans le royaume du Nord. Mais S^rTs, 22, E--' fut admis en Juda, ainsi que les -"ts Prophétiques avec lesquels il présentait tant d’affinités. On verra dans la suite qi’il y fut entouré de toutes sortes d eS « d=Les derniers éléments de E3, sûrement antérieurs a Ca., ont pu éti^ ajoutés dans le royaume du Sud, et il n’y aurait pas a être surpris d’y reconnaître l’influence de certaines idées ludéennes..,., ,

36. — D. Code de l’alliance. - « ) Le } « A.v< » (e et l-£?o/, » (. étaient avant tout des récits. Ils ren erma.ent néanmoins des éléments législatifs Celait, pour le J. « '-'" « ^ ; / auil y a de plus fondamental dans le petit code d^x xxnv, T.J. Il est plus difficile de dire quelles étaient les lois primitiv ; ment renfermées dans VEloln.te. Qu il « " contint on en a la preuve dans Ex, xxxi, 18*1. xxxii, 10, b ( E, ), xxxîv 1 4 28 (m ; XXIV,. 2 (m. - b) Ce n’est pas le Decal^lueiFx À -.7)..<> Deutéronome (v, 19 [Yulg. 22] ; i 1 "d’entïfie bien a4c le contenu des deux tablese pierre^ Mais cette identification était encore inconnue du rédaceur (Rie) qui a combiné le Yah.vistc et Elohi’te, si ' on tient eornote d'£r xxx.v, si l’on rapproche Ex., xxxiv, 2-, 28 dTx xxxiv".', ; on arrive à conclure que le contenu des preISes tables était pareil a celui des deuxièmes lequel est renfermé dans Jïx., xxxiv, 1 1-26 (cf. vers. 28). D autre pan, emo if donné a l’observance sabbatique £x., NX, 1 1 ; cf. G^^^^^^ , 2 31 prouve que le D, ! calogue n’a été inséré dans 1 Exode q^'a’pr -savoir slbi linflyence du Code --"- -J » ^, ^ n"est%asle Code de Vailiance (Ex., xx. ^^ -^YjvVuhisU fonne-ictuelle^ Si, en effet, Re l’avait trouve dans 1 £/ovis<e, U ruraîrïas songé à idemifier ' « contenu des première tables avec celui des deuxièmes. Mais on peut al er clier^ chei dans £x., xx. 22-xx,.i, 33 les paroles qui, d après E(F3 étaient gravées sur les tables de pierre. Ce seront elles qùef dehors des retombes destinées à accentuer la ressemblance, se rapprochent davantage du contenu d Ex^ xxxtv. -26 ; ckles que d’au.res indices encore peuvent Sr à ratta< ; her au récit élohisto : Ex., xx, ^i ; d-ms E' XX 2> 23 2/, (dans E'-) ; xx, 2, 5, 26 et xxni, io-16 (+ peut , onèé à élaborer un droit civil et criminel. —, ' 1.", '^, *^^ uaifs' d’ordre linguistique invitent à ^iter cette égislation comme originaire du royaume du Nord ; elle « st donc ante rieure à 722. - f) On ne saurait dire au juste à queue

5^S' ;.râ* :  !  : 'rfUrr.'.'r’Js ; z

nu-ri’or fine tous les commandements se présentaient comme de simples énoncés de préceptes sans aucune auTgation de motifs en faveur de leur observation le,

COHMLL [au moins dan a 4 ea a^Mchte],

r£?cA » ^u serait antérieur et remonterait aux pre^ mfèrerpériodes de la royauté, sinon aux premiers temps de l’e^tablissement en Canaan KiTXHL).^ ces ordonnances nour ?aîtp ov^nir desTo" ! de SicLm dont il est question ? : ". « iv^, 25 : "6. On rapproche £x. xx 25 de ce qui est dit de l’autel de Sichem, /oj., viii, i^i.