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TABLE ANAI.VII’ji [ ;

Et l’Inquisition

Dsux-Siciles Royaume des iv. 1085, Devenir (Le). — Voir Evolution. Devins. —Sibylles : iv, 132P-43. — Voir Divination.

Devoir. — Loi divine : ii, 1898-926. — Théologie morale : iv, [653-6. — Morale sociologique : iv. ii’, 670. —Et responsabilité : iv, 9’, i-5 ;. — Voir Morale ; Probabilisme.

Devoir conjugal. —Règles morales : iii, Q.4-5- — Lu natalité et le malthusianisme ! néo-malthusianisme ; ira, 1048-66.

Dévotion. — Selon S. Thomas : iv ; 279. — Voir Prière.

Dévotions. — Dispositions pour juger de bonne foi la dévotion à la Sainte Vierge (et en général toutes les dévotions ;. Abus : iii, 325-9. -- Les dévotions particulières et les Jésuites : 11, 1*86-7. — Volr Cœur de Jésus ; Lorette ; Marie, § Culte ; Saints, § Culte.

Dévots (Cabale des). — Voir Cabale des dévots. Dévouement. — Nécessaire à la vie de société’. Tt ï803-7. —Selon lam>rale indépendante : 11, 1913. Dewey fJohn). —Œuvres : iv, 171. —Pragmatisme : iv, 118, 120, 124, 126, 1^0-2, 151, 154, 1^7. 158.

Dezert (Desdevises du). — ^ r l’Inquisition espagnole : iv, 1119. — Voir encore 11. 1277.

Db.orme(R. P.). —Sur la religion babylonienne : 1 3-.J 882. 883, 385. — Sur les textes babyloniens et la’Genèse : 1, 007, 33 9 -4<>. —Sur la religion de l’Iran : 11, 1127, 1 : 28 — Sur la prostitution sacrée et les origines du mariage : iii, o, 4-Diable. — Voir Démons. Diaconesses. — Eglise primitive. Institution : iii,

1672.

Diacoaie3 (Eglise primitive). — Et les pauvres : 111. 1671-7. — Et les l’tôcholrophia : 111, 1680-1.

Diacres. — Institution : iii, 1671-2. — Prêtres, évêques (église primitive) : 1, 17". 17 :, : ’-’7 6 1 - — Les diaconies et les pauvres : m. 1671-7. - Et les origines du cardinalat : 1. 852, 85Î, 85’, , 855. — Et les catacombes : 1. 465. Dans l’église calvi niste (Genève) : IV, 61<>. Voir Diaconies.

Diaguites. — iv, 179-80.

Dialectique. — Panthéisme dialectique de Fichte ni, 1312-ao, t332-a.

Dicastères- — Voir Curie.

« Didacbé » — Voir Doctrine des douze Apôtres.

Didascalie des Apôtres. — Sur cet écrit : 1. 187-8. Sur la confession : III, 1808. 1818-a >. 1836-8.

Didascalie de Notre Seigasur Jésus-C irist. — Sur cet apocryphe : I, 189.

Didier ; S.), év Cahors. >"’DidiotChan. I.). Sur les vœux de religion :

iv, 1936, 1980. Sur le Schisme d’Occident : iv.

Didon R. P.). — Sur Let Universités catholiques :

11. ni’,

Didyme l’Aveugle. — u.’8<j.

Di-igo de San-Francisci R. P Su » les mar tyrs du Japon : m.

Dierauer. — Sur la Réforme en Suisse

Di-terich Albert. — Sur la religion de Mithia in, 580. Sut l’inscription d’Abercius : 1. 1’|37’S5 Dietrich Theodorus Teutonicus 1. — v » r 1 intellectualisme : 11. 1067.

Dieu. — Articlb(H. Garrigûc-La-orax 1088.— I" Partie. Enseignement ui l’Egusb sin

I.’l X.ISIKNCR ET LA NTCRE I)B DlEC, SIR I * « ONNAIS-SANCB QCB NOOS EN POUVONS AVOIR l’An LA LUMIÈ8B

nati ireixb de la raison : i° Définition du concile du Vatican sur l’existence et les attributs constitut l’essence divine. 2° Sens de la déGnition sur la A tinction de Dieu et du monde. 3’Délinition du concile du Vatican sur le pouvoir qu’a In raison de c naître Dieu avec certitude. Les erreurs condamnées : positivisme, traditionalisme, fidéisme, criticisme kantien. V La condamnation de l’agnosticisme m dentiste, par l’Encyclique Pascendi. » ° La méthode exclusive d’immanence n’est pas conciliable avec l’enseignement de l’Eglise : 1, 9’, .-^. — 11" Partie La

    1. DÉMONSTRABILITÉ DE l’eXISTBNCB DB DlEC Chap##


DÉMONSTRABILITÉ DE l’eXISTBNCB DB DlEC Chap. I.

De quel genre et de quelle espèce de démonstration s’agit-il P I* D s’agit d’une démonstration philosophique et métaphysique. Sa rigueur doit être supérieure en soi à celles de démonstrations dites aujourd’hui scientitiques. 2° Cette démonstration ne sera pas a priori. Insuffisance de la preuve ontologique. 3° Ce sera une démonstration a posteriori. Condition de sa rigueur : elle doit remonter de l’effet propre à la cause propre ( « causa per se primo », nécessaire et immédiate). V On ne devra donc pas remonte* dans le passé la série des causes accidentellement subordonnées, mais dans le présent la série des ses essentiellement subordonnées. 5 Dans cette -il faudra s’arrêter à ce qui est requis comme cause propre, sans rien affirmer de plus : I, 956-67. — Chap. H. Objections contre cette démonstrabilité. i° Objection des empiristes contre la nécessite, la valeur ontologique et transcendante du principe de causalité sur lequel doit reposer notre démonstration. Comment cette objection, et l’agnosticisme qui en jésuite, dérivent du sensualisme nominatiste. » ’Obj reclion de Etant contre la valeur ontologique et transeendante du principe de causalité : 1, 967-77. — Chap. III. Preuve de la démonstrabilité. i c Réponse générale à l’objection empirisle et à celle de Kant. Rllea reviennent à la négation de l’intuition de l’intelligible. Difficultés insolubles auxquelles conduit cette négation, a" L’existence de l’intuition de l’.ntelligtble prouvée par les trois opérations < !. l’esprit. 30 L’intuition des premiers principes, ils sont ] dans l’être, objet formel de l’intelligence. Le principe suprême (principe d’identité) fondement él de toute preuve de l’existence de Dieu. Affirmer la valeur objective de ce principe suprême, c’est être amené à admettre l’existence d’un Dieu transcendant, en tout 1 t pour tout identiqneà lui-même Tout panthéisme évolutionniste doit mettre la contradiction