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et alla s’accouder au balcon qui donnait sur le jardin. Les deux jardiniers étaient occupés à lier des rosiers à leurs tuteurs. Il voulut leur adresser la parole mais ne trouva rien à leur dire. « La nuit, sur la terrasse… songea-t-il. Elle ne craignait donc pas que j’entre dans sa chambre ? »
Quelques jours après, Mabrouka, avec l’assentiment de son mari, prit possession de la partie du harem qu’avait occupée Nour-el-Eïn et Cheik-el-Zaki, remettant sans cesse le voyage qui eût conclu l’affaire du ruisseau détourné, passait tout son temps avec elle.