Page:Adelsward-Fersen - Et le feu s’éteignit sur la mer.djvu/237

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

On entendit alors une chute sourde et lourde, sans cri, brusque… écrasée…

. . . . . . . . . . . . . . . . .

Puis le silence.

. . . . . . . . . . . . . . . . .

Ainsi soit-il.