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— Pas encore… You are mad… murmura la jeune femme épouvantée.
— Alors donc, te revoir ; quand ?
— Je ne sais pas…
— Ce soir après les Bergson…
— Tu n’y vas pas…
— Non. À cause des soupçons. Mais, après, si tu veux.
— À quelle heure ?
— Est-ce que je peux te dire ? Tout ceci me rend folle. Attends-moi ici vers minuit. Quand ils seront endormis. Quand Gérard et Nelly dormiront… je viendrai… Ah ! Honey !
Elle put se dégager, lui jeter un adieu, et s’enfuir. Minosoff, le joli homme, souriait avantageusement.