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glées, ressemblent à des servantes en cotillons, et des officiers éperonnés, moustachus, ronds comme des œufs, ou bien, fins comme des épis, avec de courtes cravaches à l’aisselle.

Large, bien balayé, éclairé de globes électriques, le boulevard traverse la ville entre des bazars somptueux, qui alternent avec des palais pour Compagnies d’assurances, Sociétés métallurgiques, banques de crédit. Il s’y promène des messieurs évidemment orgueilleux de leurs soucis et des femmes promptes à aimer pour l’avantage de leur bourse ou de leur cœur. Il y court des gaillards chargés de ballots et légèrement ivres. Les étoffes des robes se drapent en harmonie dans les voitures.

Le boulevard conduit hors de la ville, jusqu’à la gare. Après, il devient grand’-