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ne m’accable pas… Pourtant il y a comme des cailloux sur ma poitrine quand elle se soulève pour le jeu de respirer… »

Ils vont donc en promenade.

Au pinacle de la cathédrale rococo, le symbole divin du supplice, la croix de fer, impose son signe sur des rues étroites et dures où circule la vie de la cité. Elles mènent du beffroi roidi dans ses dentelles de pierre aux casernes et aux lupanars, à un théâtre d’architecture attique, à un palais de justice Louis XV, à un hôpital de style Empire, à une prison très vaste et très simple, ornée seulement de quelques capucines entretenues, sur une croisée, par la femme du concierge. Ils rencontrent encore vers la citadelle, des manutentions et des magasins de guerre, des petits soldats imberbes qui, sous leurs longues capotes san-