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pour elle des tressaillements d'amour, encore. A travers les buées tremblantes de son rêve alcoolique, elle lui apparaissait désirable au-dessus de toutes, de celles vues, de celles eues. Alors il la prenait dans ses bras; sans mot dire, et le lui prouvait.

Par baisers et par caresses, Lucienne semblait vouloir le fléchir.

« Pourquoi es-tu si méchant ? dit-elle une nuit. D'abord il garda un silence triste~ puis il étala ses suspicions.

Lucienne, dès lors, ne pleura plus. Elle l'évita partout.

Il se persuada que les circonstances