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chez lui pour la chasse des oies sauvages qui, en ce moment, passaient.

– Vous êtes, Monsieur, proclamait de Bressel une nuit d'affût, vous êtes, par ma foi, un bien heureux gentleman. Des chasses superbes, un marais enviable, une cave de vieux notaire. Vous avez tout jeune rôti des balais avec une femme charmante, vous vous y êtes même brûlé quelque peu. Des souvenirs exquis, quoi. Que faut-il de plus ?

– Si vous croyez, mon oncle, que c'est drôle de vivre tout seul ici.

– Voilà bien les Français d'aujourd'hui. La vie de gentleman-farmer