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  îW   8 LA rance l   le    
 tan te. Le cheval refusait toute allure autres  î%î%   
 i   sur le terrain f an geux. Les hom mes aussi  
 devant les grenadiers immobiles, contre `  iilsi  
   roncier. Les houzards allèrent, revinrent,   vscs,‘ 3],
 long des Autrichiens, et frappant du sabre   
 pipr à tpsi Q nettes vite redressées, car la longueur des     aaii  
 permettait pas d’atteindre les figures bien    
 tisl   iscp M ennemis, ni leurs poitrines blanches, ni    
 p bonnets à poil, garnis chacun d’une   t=,,
 iia, gf] de cuivre fourbi. Grands garçons stupéfaits, ils 
 i,‘,t   derent les houzards, et leurs yeux s’animèrent,   itii,‘s,  
 pipti   menlhal, l‘Alsacien, leur parlait allemand.   sspa,   ,,ii, L
 ,pa‘r ~ moi ton pain, disait—il, et je t’épargne... » ll  
 iipirps ii} l alorsson grand bras et son sabre comme pour   ctti,  
 st,`ij   « lmmobilel » criait au fantassin l’officier à la irit   ip·iî,   rsiiî îîîeî
 canne. Le sabre dllerxnenthal écorchait à peine le ti,i    rit,  
 iuisv     L du fusil qui ne lléchissait guère. « Tu veux  ii,p L ppV»,  
 sufi     mon ga rçon, disait encore l’ofli cier, joli junker   i,,‘,   f,‘,t Qlf
 iitpt, g,   rose; voici lou ours une belle étrille, et ton atft  
 ,,i,p   en a besoin. » Les fusiliers de rire alors, d`unà   titfs  
 rire germanique, découvrant leurs dentures  
   par l`abus de la pipe. l l i? i,,_»u,   itsii    
     Be¤·¤e¤·~l e¤l¤¤î¤‘e eel eerell level-          t ,   
 deux Precéden tes rencontres avec l`ennemi,  gg lfir  f,,,    
 encore se raidir. « Marius... César.,   —.i  
 ttui   mlll`““"`ell‘l1- Les eylleeee de ses nemsl  
 4 l geelem ses elmlldes lleeessell`es· P 
 pfte l il importait qu`il se dédoublàt mentalement,  
 Ãfïelill semme idee] de vlelerleex sells reelle de siei  
 q,,a    1vÃ_Alors tout grandissait en lui, sa poitr‘iîî1e»   efuî   ,lfiî ÉÃÉ ‘ ,;  
          e¤ eouti1a de ces ambitions me sellîqueex      
     sur les e¤·le¤·e, en lwrleel   ae¤‘¤`¤l         f   
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