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divines avec vos amours passées trop humaines.
À MÉLISSANDRE
Pardon, ma bien-aimée, le baiser de votre mari vous avait souillée à mes yeux. Les réflexions brutales de votre père m’ont exaspéré. Je n’ai senti que mes révoltes et n’ai point songé à votre souffrance. Avec des sacrilèges, moi-même j’ai été sacrilège ; pardon ! Je suis à vos genoux, implorant une grâce que je saurai mériter et obtenir.
À LA MÊME
Sois bénie, Mélissandre, pour les saines et salutaires émotions que tu me donnes.