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grand pour t’honorer, assez fort pour te prendre.



À TIBURCE

Mon père m’a déclaré, ce matin, que nous allions quitter Noves, que je ne pouvais habiter chez mon mari, après sa conduite à Naples. « Que se passe-t-il donc de nouveau ? » ai-je demandé.

— Des choses telles que la ruine, la saisie prochaine du château, me fut-il répondu ; la vente des terres a déjà commencé.

— Je regrette de n’avoir pas été prévenue plus tôt, ai-je dit froidement ; mais il est temps encore, j’imagine, de tout reprendre, de tout acheter.

— Quoi ! tu songerais à garder ces lieux