Page:Action, revue vol 1, no 4, 1920.djvu/47

Cette page n’a pas encore été corrigée

H s'est, on peut dire, magnifé. Les établissements qui avaient d'abord ve simplement ne sont avec le quel, nil ot omements ef devenus Sir, 0 ati Les éra ais Lautree, lorsqu'il tre qu

EF

M Cat Me cs de.

mn re en ne

ne RET.

A

L'inquiétude immense et le besoin d' re qui a si profondément

Fermé Ja re moderne depuis un demi semblaient avoir passé

auprès des sculpteurs san qui en disent beaucoup d'émotion.

and que les peintres frèta iseaux fragiles, partaient vers dk cou at cinglaient. vers des

<ampagnalent les jngeurs de leurs vaux, mais dem nent . ut Fa ? Peut-être y us

rement que par ess tar. La évéi

Se aa ven do it se départ ravagé doi où la né dent sl Les rues dites à parure 8 mliquent que es étapes sont plus jongues ls à se

semeurs pas complétement insensible au grand ait

la penture et quelques Lntatives mérites qu cure

a en Ges dernières années, n'est que Juste

Aueune de ces tentatives ne parait avoir abouti. 1 faut surtout 6

sponsables Les conditions trop hasardeuses dans lesquelles elle furent entre- prises. Jacques Lipehitz est le premier à mon sens, qui sans hâte inutile, sans gestes déclamatoires, ait mûri lentement sa et sachant en quel but i Voulait atteindre sc ie gt ayant mi de son eôté toutes les chances d crois que de sagesse, ce désir Dave one encart Jane lle te Aie l'œuvre de Lipeie d'amier à des certitudes qui ui a éf rndu possies des découvertes indise

pue es siaient avec candeur pouvoir

mare, qu'ici négigées, ou dans une certaine confusion d

jues seuipte | ver le renouvellement dont is sentaient le besolm, dans sn angeait bn senlpture et da peintuñe, Lipchiz sans prendre 1e m