Page:Action, revue vol 1, no 4, 1920.djvu/30

Cette page n’a pas encore été corrigée

faisaient Ia course jusqu'à lui. Comme elles l'éclaboussaïent, il se froltalt lentement Jes yeux les Jones ave l'envers de an mai, en souriant senc pas en er dore le ce voyage À a Longue, étais

mes déjà ins 6 ab si à nements de quelque valeur avs en eat 1 exac-

roue mande adresa une abat mn, Les chevaux hes mirent un vieux, humble Hennisement SUR EN sn d' plomb. a bégaya. Le en éternuant, tant Pa an aura a uppé: ayant tréuché

de as le plu: a fut le vi empla les fleurs de genêts comme des apparitions, comme neo ee

nouilla dans le craie gluante, baissa la tête et pria. Avec un étonnement nai, ss ing compagnons sa

mine énorme Se mi son buse ières à Calntpiehe D ea A De een pas de ere du cape axe lévres des Eh, aux Babies ds chien ha tes

e, vous l'avoueral-e, je jugeai bon de m'associer à cotte mani

Letallon Je al pas leu me metre à croupeton D Seréhaï rapidement dans ma mémoire, Je serai les jambes l'une opère Y'autre, mon bras gauche contre mon Lore et, Le en me Je fus certainement ridicule.

Ensuite, nous reprimes notre route. Bien qu'en Bretagne et enguirlandée de fleurs de gens, bien qu'une pre alt parée dur privilège, ele me parut aussi monotone, aussi pesante qu'auparavant. Le soir venait préma- Aürément. On céprouvalt La désagréable sensation d'avoir à parcourir ancore de longues heures de la journée, sous l'accablement, sous l'afaiblissement d'un crépuse cle

Vraiment, combien. avat-on traversé d'agglomérations ? Aucune ne m'avait un plus qu'une autre ; aucune ne m distrait de la fadeur mépris

de la route. Je les

moi Mal ompas, pro pusqu'ou contraire, une grande exe ou 4 mit ta del mes compamons. Tes le betgus es oblanles SE SRI the ne djdgeaié au mien, ue pique indie ur bord de le cha sde 2 Qu'était-ce À En groses