Page:Action, revue vol 1, no 4, 1920.djvu/29

Cette page n’a pas encore été corrigée

|

xx cheveux frisés, 1 iche, aussi mince ne biche et dont La Fete Li jeune qu'a vie l'imecoee comte cet ensemble disarats, un frangé comme unnuage, etun minnseule chics qui ua diilment à travers es ue jene qu'un berger acompagnalt ce Bts Mai él tent courbé et rhumatisant, avec \ Énen était qu'une bête de plu hs nie, el ing venue, Lantt devant, tantôt out au plus, à ne pas perdre SE den Ce léremment, et lui embrasser le

ïe ant et se léchait les x peint trop da

ns son cheni ion à ui ae ent été une L . antique ct du bergs eme di pas un Se Ne Gime 5 ns, au surplus, ne Lémoignérent inquiétude où agi. Je les entendis se confier qu'ils se rende in grand plei pays breton, au bout, de cette route sont is a nu con rio das a que Diese du jeunes bts € l'on appro-

4 mar entables, re que La pluie D an pot Ba ie

DE leur voyage s'along roue leur incrastait le ventre de coquillages de boue. Le boéro de la ère RD bu Leo ane De ne matt de ter sase en mouvement. Le pti cheval Manc ressemblait à un

Nous traverses plusieurs villages cadenas par Je ma als Le Fe

un Druit. Les ing péleins foltraient piteusement k ns ni plus ni moins que si ce füssent des tas de cailloux. ais les champs reprenaient et la route serpentante, comme un sillage sur de la

le.

Pourtant, à la sortie d'un de ces villages, un homme traversa en courant.

allant d'une ferme à une grange apercu ie cheval Dane, ie ds bras au ne xplicable, peut-être,

LEE à chaque ds à côté de moï, continuait de bou gonner dans son buisson de barbe : à Venez m'embrasser!°», eb es bôtes,