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ALPHONSE ALLAIS[1].
Pour M. H. Ferrari.
- Messieurs,
S’il est une joie bien douce pour un savant arrivé à la fin de sa carrière, c’est assurément de pouvoir encore, avant de mourir, reculer les limites du domaine inconnu de la Science. Ne croyez pas cependant que je vous entretienne aujourd’hui d’une invention nouvelle, d’une de ces découvertes, depuis si longtemps
- ↑ Mémoire lu à l’Académie internationale des Sciences, en 2203, par M. Adolf. Petherheim, professeur de sciences appliquées au collège d’Europe et membre de l’Institut.
