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ERNEST LAJEUNESSE

et les a gratifiés des grimaces les plus terriblement gavroches, en exécutant, par irrespect pour eux, de clownesques cabrioles.

M. Lajeunesse n’a pas voulu continuer. Il eût pu se maintenir notre critique le plus original et le plus amusant. Il a préféré devenir romancier, et le voilà maintenant qui vogue à pleines voiles sur les flots du lyrisme et du pathos… et c’est bien regrettable, pour nous, tout au moins.