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DROIT AU BUT
PREMIÈRE PARTIE
LA MAISON DE LA RUE DU ROCHER
En 185., longtemps avant qu’une initiative intelligente et hardie eût pensé à ouvrir de larges voies dans les terrains vagues et les quartiers solitaires dont la place de l’Europe occupait le centre, on ne connaissait la rue du Rocher que lorsqu’on l’habitait.
Bien que voisine de la gare bruyante de l’Ouest, par laquelle une bonne partie de Paris se répand dans la banlieue, la pente roide qui la soude à la rue SaintLazare allonge vers les boulevards extérieurs un escarpement si tortueux, qu’on n’y voyait alors qu’un très-petit nombre de passants et presque jamais de voitures, si ce n’est un omnibus qui s’obstinait à suivre pénible-
