Page:Académie française - Recueil des discours, 1860-1869, 1re partie, 1866.djvu/471

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ments et d’amour de l’art, de générosité civique et d’éloquence, qu’elle a proposée pour l’année prochaine, en la résumant sous ces mots d’un respect familier pour le grand écrivain que nous avons perdu, et pour les grandes renommées qui ne meurent pas : l’Éloge de Chateaubriand.