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— N’allez-vous pas la plaindre ?
— Non… car je crois que je l’aime.
— Ce serait le cas cependant…
— À quelle heure vient Alfred ?
— À une heure.
— Il est minuit et demi ; adieu, je m’en vais ; nous nous retrouverons au bal… dans la salle du foyer, sous la pendule… le lieu est nouveau !
— Quel besoin y a-t-il qu’il le soit ?…
— Ce serait d’un meilleur augure… Quel est le numéro de la loge où je dois la conduire ?…
— L’ouvreuse est prévenue… no 27… la mienne sera no 26… Allons… allons, un peu de courage, René, et Sarah est à vous !
— Je vous jure que si cet espoir n’était pas devant moi… il a long-temps que je vous aurais dit adieu.
— Allons, bon soir, au revoir, dans une heure.