GORGEON. 265 ■’ i AS 3 j Je rendre, avec un remercîment de sa façon ; Pauline prétendit le garder : « Parce que vous n’avez pas eu ridée de me faire un cadeau, lui dit-elle, il vous plaît de trouver à redire aux moindres attentions de mes amis! — Vos amis sont des drôles que je corrigerai. — Vous feriez mieux de vous corriger vous-même. J’ai cru jusqu’ici qu’il y avait deux classes d’hom¬ mes au-dessus des autres, les gentilshommes et les artistes : je sais maintenant ce qu’il faut penser des artistes. — Vous en penserez ce qu’il vous plaira, dit Gor¬ geon en prenant son chapeau, mais ce n’est plus moi qui fournirai un texte à vos comparaisons. — Vous partez! — Adieu. — Où allez-vous? — Vous le saurez. — Tu reviendras? — Jamais. Il Pauline fut quatre mois sans nouvelles de son
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mari. Ou le chercha partout, et jusque dans la ri¬ vière. Le public le regretta ; ses rôles étaient distri¬ bués à d’autres. Sa femme le pleura sincèrement;