LE BUSTE. 249 =FU i .ï ■ m FJ ce n’est pas moi qui ai blessé M. de Marsal : il s’est blessé lui-même. — Nous savons cela. Après? — Je comprends, madame, qu’à la suite d’un tel éclat, il ne m’est plus permis de rester sous votre toit. Je viens donc prendre congé de vous, et vous remercier d’un accueil dont je garderai une recon¬ naissance éternelle. !» — Qu’est-ce qu’il dit ? — Heureusement votre' buste est achevé, et , avec votre permission, j’exécuterai Le marbre chez moi. — Parlez donc ! Après....\t. — Après, madame, après.... — Vous avez quelque chose à me demander? — Il est vrai , madame, et puisque vous voulez bien m’encourager.... — Certainement, je vous encourage ! — Eh bien ! madame , j’ai demain, ou plutôt lundi, un billet à payer, et si vous vouliez bien m’avancer mille francs sur le prix de ce buste, je.... — Accordé ! accordé ! Après ? — Après, madame, je n’ai plus qu’à vous re¬ mercier.
— Allons donc ! je sais tout.\t. — Quoi, madame ? — Tout! Vous aimez ma nièce ! - . ■ Non , madame \ mais je vous jure que non !