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.\t i\t•\tmHM LE BUSTE. 191 « ment Daniel, mais parce que je ne trouvais pas la porte.\t‘ — Faites-vous des armes, monsieur? ~ » — Oui, monsieur, et vous ? — Depuis quinze ans, chez les Lozès. — Moi, dans mon atelier avec un ancien prévôt de Gâtechair. Nous ne sommes pas de la même école. — Comment ! monsieur, vous faites des armes ! dit Victorine. Mais papa vous adorera! » On reprit le chemin du château. Mme Michaud dit à Daniel : « Cela ne vous contrarie pas, que j’aie invité ces messieurs à nos séances ? — Non, madame, pourvu qu’ils ne vous empêchent pas de poser. Quant à moi, je travaillerais au bruit du canon. — Ne craignez rien, je me tiendrai tranquille comme un anabaptiste. Observez bien ces deux amoureux : ils vous donneront la comédie. Comment trouvez-vous l’avocat? .\t• — Je le trouve gros. a — Pauvre homme ! il fait tout cequ’ií peut pour mai¬ grir , excepté de boire du vinaigre. Et le capitaine? — Mince, bien mince. • Oui, je me demande toujours comment les coups de vent ne l’ont pas emporté. II fallait qu’il eût des pierres dans ses poches. Lequel choisiriez-vous si vous étiez femme ?\t.\t. 1