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de principes, comme maître Alfred L’Ambert, se trouvait-il trois fois par semaine au foyer de la danse ? »

Eh ! chers amis, c’est précisément parce qu’il était un homme posé, un homme rangé et un homme de principes. Le foyer de la danse était alors un vaste salon carré, entouré de vieilles banquettes de velours rouge et peuplé de tous les hommes les plus considérables de Paris. On y rencontrait non seulement des financiers, des conseillers d’État, des secrétaires généraux, mais encore des ducs et des princes, des députés, des préfets, et les sénateurs les plus dévoués au pouvoir temporel du pape ; il n’y manquait que des