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Report · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · 14 769 733   69
À quoi l’on peut ajouter, comme dépenses
inutiles :
La régence bavaroise 1832-1833 · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · 1 397 654   27
Le transport, les frais et le retour des
troupes bavaroises, du 1er septembre 1832
au 30 septembre 1834 · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · 4 748 050   »

20 915 427   96
qui, retranchés de · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · 31 659 934   33

donnent un reste de · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · 10 744 506dr37l

C’est avec ces 10 millions que la Grèce a dû pourvoir aux besoins de l’agriculture, du commerce et de l’industrie, et se mettre en mesure de servir les intérêts de la somme énorme qui lui avait été prêtée.

Pendant les années 1841, 1842 et 1843, la Grèce, avec un peu d’aide, a servi les intérêts de l’emprunt de 60 millions. Elle a payé 6 300 000 drachmes.

Après cet effort, dont il faut lui savoir gré, elle se trouvait un peu plus pauvre que le jour où elle avait été forcée de recourir à l’emprunt. Elle devait 66 842 126 drachmes 46 lepta.

Au 31 décembre 1846, elle devait 79 905 114 dr. 33 lepta, sans parler des intérêts de la dette accessoire envers les trois puissances, qui figure dans les comptes pour 5 231 130 francs 42 centimes ou 5 841 526 drachmes 35 lepta.

En 1852, le gouvernement grec désespérait de ne jamais payer les intérêts de la dette extérieure. Il se promettait seulement de témoigner sa bonne volonté aux trois puissances en leur donnant 400 000 drachmes par an. Ce projet honorable est