chez un juif quelques titres d’emprunt musulman ?
Il dirait vraisemblablement que la fin justifie…
Connu mais songez-y : la fin la plus prochaine de notre petite opération sera d’affermir un prince mécréant sur son trône.
Qu’importe, si la fin dernière doit être d’ajouter cent mille francs à notre humble trésor ?
N’auriez-vous pas un intérêt plus direct à prêter votre argent au pape ? Il en a grand besoin, le pauvre homme ! Ses finances vont mal, et je l’ai averti la semaine dernière que mon caissier ne pouvait plus rien en sa faveur.
Le ciel prendra soin d’assister notre saint-père le pape. En lui prêtant un secours matériel, nous aurions l’air de mettre en doute la providence de Dieu.
À la bonne heure ! vous êtes un gaillard subtil et vous savez accorder votre conscience avec vos intérêts. Je veux faire quelque chose pour vous, mon brave homme. Vous gagnerez vos cent mille francs ;