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ÉPILOGUE


I

Nous étions à la veille de regagner Paris, et j’avais, tant bien que mal, achevé mes modestes études. J’étais revenu de Belfort le 12 au soir, très-las et assez souffrant pour garder la chambre vingt-quatre heures. Ma femme me conta qu’en mon absence un pauvre homme de Saverne, commissionnaire à la gare, était venu la mettre en garde contre un danger fort peu vraisemblable. Le buraliste allemand, sachant que je l’employais quelquefois, lui avait demandé, puis ordonné, de mettre mon nom sous ma figure la première fois que je viendrais prendre un billet. Mais ce brave garçon