asseoir, fesses nues, sur ses cuisses nues : « Comme tu as la peau douce… comme tu sens bon, ma bien aimée… »
J’étais tellement énervée que je me dégageai de ses bras, et lui dis : « Montre-le-moi, Thérèse, ton… petit chose… ton clitoris… C’est un vrai petit membre… je ne l’ai pas bien vu, je veux le revoir… »
Aussitôt elle se mit debout, écartant les jambes en se retroussant. Je me mis à genoux devant elle, en m’exclamant : « Oh ! comme tu as du poil !… quel amour de chat !… »
Et je l’embrassai… Je pris son clitoris entre mes doigts ; au repos, il n’était guère plus gros que le mien, mais je le sentais s’allonger sous ma caresse : « Tiens, tu sens… il s’allonge… il remue… oh ! viens… que je le suce… »
Thérèse me saisit les cheveux à poignée, en s’écriant : « Oh ! non assez, assez !… tu vas me faire jouir !… »
— Regarde-le devant la glace… je veux que tu le voies ainsi…
— Mais je le connais bien…
— Ça ne fait rien, c’est toujours beau à voir… Polissonne, tu le connais… je parie que tu t’es souvent chatouillée en te regardant devant une glace… dis, pas vrai ?… Tu t’es branlée ainsi ?… Moi, je l’ai fait souvent quand j’étais jeune fille…
— Comme tu dis cela crûment, fit-elle en souriant.
— Oui, ma Thérèse, c’est comme ça : dans la journée, tu me garderas le respect pour qu’on ne s’aperçoive de rien. Mais quand nous serons seule à seule, comme ce soir, nous dirons des cochonneries… nous en ferons…
— Oh ! Cécile !…
— Je te scandalise, mais ça m’est égal. Pourquoi m’as-tu excitée ?… Pourquoi as-tu réveillé mes sens qui étaient assoupis ?…
— Oh ! fit-elle d’un air de doute.
— Oui, mademoiselle, n’es-tu pas venue me trouver dans