Cette page a été validée par deux contributeurs.
9 Juin 1895
Mon cher ami,
Combien j’ai eu de joie à apprendre par notre belle interprète, Madame Héglon, que vous approuviez et que vous aimiez ma « Montagne Noire », pour laquelle on m’a attachée au poteau, et criblée de flèches et de boue, comme pour l’Ode Triomphale.
Mais à ce poteau, j’ai continué