avoir trop d’assiduité ; mais qu’il y en a d’autres où il ne reste de mérite pour nous que la discrétion des absences ; et tout au plus, où il ne faut se présenter qu’aux occasions où l’on peut servir. Que je me tiendrois heureux, Madame, d’en rencontrer ! je vous ferois avouer, que personne n’a jamais été attaché à vos intérêts, avec plus de zèle, de fidélité et de persévérance, que votre, etc.
Je suis trop discret, pour vous demander des approbations, et vous êtes trop judicieuse pour m’en donner : mais comme le chagrin de l’humeur se mêle à l’exactitude des jugements, je vous supplie, Madame, que je ne sois pas censuré généralement sur tout ce que je fais. Si je parle, je m’explique mal : si je me tais, j’ai une pensée malicieuse. Si je refuse de disputer, ignorance ; si je dispute, opiniâtreté ou méchante foi. Si je conviens de ce qu’on dit, on n’a que faire de ma complaisance. Si je suis