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Scène IV.
MONROSE, ARAMONT.
Monrose, avec vivacité.
Tu me vois furieux. On vient de te noircir
D’une accusation que je crois téméraire.
Il me seroit cruel de trouver le contraire.
Clorine…
Aramont, à part.
Ah ! c’en est fait.
Monrose.
Un mystère affreux. Songe à te justifier.
Aramont.
Cette fille m’en veut.
Monrose.
Ne récrimine point, si tu veux la confondre.
Cette fille fait plus que de te soupçonner.
Que dis-je ? Elle prétend que tu t’es fait donner,
Pour moi, les diamans d’Hortence. Est-ce une injure ?
Les aurois-tu reçus ? Parle, je t’en conjure.
Tu conviens de ta faute, en n’osant la nier.
Il ne s’agit donc plus que d’y remédier.