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LE
CHÂTEAU DANGEREUX
DES EAUX DE SAINT-RONAN,
TRADUCTION DE M. ALBERT MONTÉMONT.
NOUVELLE ÉDITION,
REVUE ET CORRIGÉE D’APRÈS LA DERNIÈRE PUBLIÉE À ÉDIMBOURG.
Lorsque je m’arrêtai près de la tour sans toiture, où la fleur sauvage parfume l’air humide, où le hibou se plaint dans son berceau de lierre, et redit ses douleurs à la lune de minuit, les vents dormaient, l’air était paisible, les étoiles brillaient dans les cieux ; le renard hurlait sur la colline, et les échos lointains du vallon répétaient ses cris.
Robert Burns.
PARIS
MÉNARD, LIBRAIRE-ÉDITEUR,
PLACE SORBONNE, 3
1837.