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il eut la faveur de Burleigh ainsi que de tous ceux qui l’employèrent.

On peut trouver l’esquisse de cette triste narration dans les Antiquités du Berkshire, par Ashmole ; il en est également question dans plusieurs autres ouvrages relatifs à Leicester. L’ingénieux traducteur du Camoëns, William Julius Mickle, a fait de la mort tragique de la comtesse le sujet d’une élégie que le lecteur a lue dans l’introduction de ce roman.




FIN DE KENILWORTH.