Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 2, Lemerre, 1890.djvu/217

Cette page n’a pas encore été corrigée

En proie aux curiosités
––––––De certains juges entêtés
––––––À s’occuper de ses affaires,
Il partit pour l’Espagne et fut pris des corsaires !

Colombine.
Hélas ! pris et pendu ! car le pauvre garçon
–––––-––N’avait pas dans l’escarcelle
–––––-––De quoi payer sa rançon ;
Alors ils ont occis des époux le modèle !
––––––-–Mais c’est assez, plus un mot !
–––––-––Car la femme de Pierrot
––––––Ne doit pas être soupçonnée !
––––––.  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  
––––––.  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .