‘ai donc terminé les trois livres par la Lumière
de la Nature, et, en eux, j’ai expliqué les
affections et les maladies de la partie visible
et corporelle du microcosme, et je les ai écrits avec
une singulière expérience et diligence, et avec une
suffisante démonstration de ses doctrines philosophiques
et expérimentales. Or, bien que, dans ces
quelques livres, ce qui advient[1] au corps visible du
microcosme ait été abondamment traité, et que toutes
choses, en chaque chapitre, aient été aussi puissamment
établies et confirmées qu’il a été possible
de l’extraire de cette même lumière de la nature sans
rien omettre ni négliger, cependant toutes les maladies
de la partie visible du microcosme, qui peuvent
advenir dans le corps, n’ont pas toutes été énumérées
- ↑ Die anligen. Palthenius a traduit : pathemata ; Forberger : œgritudines.