utre tout ce que nous avons rapporté jusqu’à
présent, il se trouve aussi, dans l’homme, plusieurs
autres générations de la pierre, qui
naissent et se forment en dehors du tartre ; cette génération
est semblable à la génération externe[1]. Car,
puisque l’homme est le microcosme, en lui sont aussi
les générations du monde extérieur[2], avec ses particularités,
suivant que la Philosophie le confirme. La
génération de ce genre advient dans les hommes ;
ainsi ils ne reçoivent pas le calcul du tartre, et leur
digestion, séparation, etc., est excellente (proba, )
et le tartre demeure mélangé avec les excréments,
et s’éloigne sans le contact de l’esprit du sel. Puis
donc qu’il reste encore un autre genre semblable à
celui qui a été décrit, non cependant avec le paroxysme
ou l’espèce ou la forme, etc., du tartre, mais
seulement de génération naturelle, sachez que, puisqu’il
y a deux générations, deux essences se trouvent
également présentes ici. Le tartre a un paroxysme en
lui. Or, celles-ci n’ont pas de paroxysme ; mais il
advient alors qu’un paroxysme est excité par la