Page:Œuvres de Monsieur de Fontenelle, Tome IX, 1766.djvu/425

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ne laisseroient pas de changer, parce qu’il faut que naturellement un goût s’absorbe par un autre, qu’une sorte de mœurs conduise à une autre, et cela sans fin. Ce sont ces liaisons naturelles que nous devons principalement tâcher d’attraper, mais sans négliger en même temps d’observer ce que la fortune y a mis du sien.