Page:Œuvres de Hégésippe Moreau (Garnier, 1864).djvu/318

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les uns pour les autres à l’appel de mes doigts tâtonnants ; je me barbouillais d’encre en essuyant mes pleurs, et une fois entre autres, m’étant penché sur la forme humide d’un placard qui devait annoncer la mise en location de je ne sais quel appartement, je trouvai, en me relevant, ces mots imprimés sur mon gilet, à l’endroit du cœur : « Vacant par suite de décès ».