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Tant qu’a duré l’influence
D’un Astre propice & doux ;
J’ai senti de ton absence
Plus d’ennui que de courroux.

Je disois : je lui pardonne
De préférer les beautés
De Palès & de Pomone
Au tumulte des Cités.

Ainsi l’Amant de Glycere
Épris d’un repos obscur,
Cherchoit l’ombre solitaire
Des rivages de Tibur.

Mais, aujourd’hui qu’en nos plaines
Le chien brûlant de Procris