Page:Œuvres de Chaulieu (Pissot 1777) - Tome 1.djvu/118

Cette page n’a pas encore été corrigée

viens de les montrer à M. le Duc d’Orléans, à Madame de Chatillon, et à beaucoup d’autres Dames, avec qui nous venons de dîner ; on a bu à votre santé ; on vous a loué ; on vous a desiré : n’eft-ce pas là tout ce que nous pouvions faire ? Le Roi a été incommodé un jour, mais ce n’est plus rien. Adieu, mon cher ami, Vale et bibe.