Page:Œuvres de C. Tillier - II.djvu/244

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

toute la journée, on l’attendit le lendemain, on l’attendit toute la semaine, mais il ne reparaissait pas, et personne ne pouvait donner de renseignements sur son ballon. En vain Louise fit insérer dans toutes les gazettes connues une note relative à sa disparition, nul ne savait rien de lui, et il fallut bien que la pauvre Louise se résignât à le pleurer comme mort.

Elle fit enterrer dans le jardin de son père les débris de la roue tombés du haut des airs, et chaque jour elle venait rêver en cette place à son Cornélius.



FIN DE CORNÉLIUS.