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— Mais… prenez garde à l’âne, et ne le piquez pas, comme ce matin, de votre épée ; voilà tout ce que je vous demande.

— Vous me boudez, ma sœur ; je voudrais savoir pourquoi ?

— Eh bien ! je vais vous le dire : Parce que vous avez trop bu, trop discuté, et que vous n’avez rien dit à Mademoiselle Arabelle. Maintenant, laissez-moi tranquille.