Page:Œuvres de Blaise Pascal, XIII.djvu/17

Cette page n’a pas encore été corrigée

PENSÉES SECTION II (suite) Ç> I "^36 1] 82 s» l Imagination. — C'est cette partie décevante dans: l'homme 1 , cette maîtresse 2 d'erreur et de fausseté 3 ,; lï d'autant plus fourbe qu'elle ne l'est pas toujours; car elle serait règle infaillible 4 de vérité, si elle l'était infaillible du mensonge. Mais, étant le plus souvent fausse, elle 5 ne donne aucune marque de sa qualité , marquant du même caractère le vrai et le faux. a : _ . «• Gf.B.,8 bis; C, a,'»; P. R., XXV, A, 7,8, 10, ir, 12, t£; Bos., T, n, 3, 10, h, 1/1, iO, 1-, 27; î r AtG., II, 47; Hw., 11/, 3; IMol., I, 7G ; (u jSIigh., Goi. . [Cause de tou f - les, ] ^ 2. [Pièce.] . [Si insigne fourbe] et [de la plus insigne.] — Correction de la Copie qui se retrouve dans l'édition de ifi^o : que Von appelle fantaisie et opinion. k. Infaillible, deux fois en surcharge. . [Est quelque.] . [Impriment sur la même marque les opinions vraies et fausses. C'est elle qui] a le grand don. PENSÉES. II. — 1 c*v