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me dit-il; 1 celle-là l’est visiblement. La difficulté estoit de trouver de la probabilité dans le contraire 2. Et c’est ce qui n’appartient qu’aux grands 3 hommes. Le P. Bauny y excelle. Il y a du plaisir de voir ce sçavant Casuiste penetrer dans le pour et le contre d’une mesme question qui regarde encore les Prestres, et trouver raison par tout, tant il est ingénieux et subtil.
Il dit en un endroit, c’est dans le traité 10. p. 474 4. On ne peut pas faire une loy qui obligeast les Curez à dire la messe tous les jours, parce qu’une telle loy les exposeroit indubitablement, haud dubiè, au peril de la dire quelquefois en peché mortel. Et neantmoins, dans le mesme traité 10. p. 441. il dit 5: Que les Prestres qui ont receu de l’argent pour dire la messe tous les jours, la doivent dire tous les jours; et qu’ils ne peuvent pas s’excuser sur ce qu’ils ne sont pas tousjours assez bien préparez pour la dire : parce qu’on peut tousjours faire l’acte de contrition ; et que s’ils y manquent, c’est leur faute, et non pas celle de celuy qui leur fait dire la Messe. Et pour lever les plus grandes difficultez qui pourroient les en empescher, il résout ainsi cette question dans le mesme traité qu. 6 [33]. p. 457. Un Prestre peut-il dire la
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1. B. [elle]
2. B. [des opinions qui sont manifestement bonnes]. — Cette addition ne se trouve pas dans W.
3. B. [personnages].
4. Cf. tous ces textes de Bauny, supra p. 15 sq.
5. La citation n’étant pas rigoureusement exacte, W. traduit le texte de Pascal, et n’emploie pas les caractères italiques.
6. Toutes les éditions, par erreur: [32]. — W. renvoie seulement à la p. 457.
