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sçavoir, la moitié du tout. Donc il luy reste de gain

cette fraction. p^M + F + a. + S q^' 5"' '" mesme chose que celle-cy.

��K-f-p-hc-^N

��donc lia gagné sur la moitié de la somme entière, c'est à dire sur la mise du perdant, cette Jraction

��20

��V-+-Q-H-K-+-p-+-$-HN-f-(:

double de la précédente .

Donc le gain des deux premières parties luy a ac- quis cette fraction sur l'argent du perdant, qui est le double de ce que la première partie lui avoit acquis par la précédente ; donc la seconde partie luy en a autant acquis que la première.

Conclusion.

On peut aisément conclure, par le rapport qu'il y a du Triangle Arithmétique aux partys qui doivent se faire entre deux joueurs, que les proportions des cellules qui ont esté données dans le Traité du Triangle, ont des conséquences qui s'estendent à la valeur des partys, qui sont bien aisées à tirer, et dont j'ay fait un petit discours en traittant des partys, qui donne l'intelligence et le moyen de les estendre plus avant.

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