SUR LE ΕΙ DU TEMPLE
DE DELPHES[1].
1. Avant-propos.
2. Occasion de ce traité. — Il est raisonnable de faire des recherches sur tout ce qui concerne le dieu Apollon.
3, 4. ΕΙ expliqué par Lamprias.
5. — par Nicandre.
6. — par Théon.
7. — par Eustrophe.
8. Propriétés du nombre impair — du nombre « cinq » en particulier.
9. Ces dernières conviennent autant à Bacchus qu’à Apollon. — Digression sur les hymnes composées en l’honneur de Bacchus.
10. Perfection du nombre « cinq » déduite des principes de la musique.
11. — déduite de l’arrangement de ce vaste univers.
12, 13, 14, 15, 16. Autres propriétés du nombre « cinq ».
17, 18, 19. ΕΙ ne peut se dire que d’un dieu.
20. Unité de Dieu.
21. Motifs de lui rendre le culte qui lui est dû. — Il y aurait impiété à croire que Dieu soit sujet à des changements : ce serait le confondre avec certain autre Génie. — Comparaison du mot ΕΙ et de ce précepte moral : « Connais-toi toi-même »
- ↑ Ce titre, qui est encore plus concis dans le grec : « Sur l’ΕΙ à Delphes se trouve, au contraire, développé par Amyot : Que signifioit le mot ΕΙ qui estoit engravé sur les portes du temple d’Apollo en la ville de Delphes ».