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sance. Mon ame était flétrie par le malheur, et vous y avez fait descendre l’espoir consolant ; vous m’avez fait oublier de longues infortunes, vous avez été pour moi une seconde providence. Que ne suis-je aux lieux où l’on a déposé vos cendres. J’irais tous les jours, accompagné de ma douleur, les arroser de mes larmes ; je dirais à la foule des infortunés qui s’empresse autour de votre tombeau : C’est ici que repose l’ami de l’humanité.