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Deux heures. — Je prends le train pour Nice.

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Le journal finissait là. Bien que ces notes révèlent de la part de leur auteur un extrême mauvais goût, un esprit commun et beaucoup de grossièreté, j’ai pensé qu’elles pourraient mettre en garde certains voyageurs contre le danger des Anglais en voyage.

Je dois ajouter qu’il existe des Anglais charmants, j’en connais, et beaucoup. Mais ce ne sont pas, en général, nos voisins d’hôtel.


Nos Anglais ont paru dans le Gil-Blas du mardi 10 février 1885.