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NOTES.

(Les chiffres renvoient aux pages du volume. V. signifie vers ; Pr., Prompsault ; P. L., M. Paul L. Jacob, bibliophile.)

P. 1. Clément Marot aux Lecteurs. Cette préface, avec le huitain qui l’accompagne, est en tête de l’édition de Paris, Galiot du Pré, 1533, la première donnée par Marot.

P. 2, lig. 28. Toutesfoys… Marot dit clairement qu’il n’a pas consulté un seul manuscrit. Il n’a pas non plus eu sous les yeux toutes les éditions du XVe siècle.

P. 4, lig. 5. Après… Les vers que Marot dit avoir refaits sont au nombre de dix ou douze seulement, et, chose singulière, on les trouve tels quels dans les manuscrits et les anciennes éditions. (P. L.)

P. 7. Le Petit Testament. Ce titre, que Villon n’avait pas eu l’intention de donner à ses lays (voy. p. 50, v. 11), se trouve en tête des plus anciennes éditions de ses œuvres.

P. 8-9. Les huitains IV à IX ont été publiés pour la première fois par Prompsault, d’après un mss. La Monnoye ne les a pas connus.

P. 9, huitain IX. L’invocation par laquelle Villon commence son Testament n’est qu’une affaire de simple formule. Ce n’est pas là qu’il faut chercher la preuve de ses sentiments religieux.

P. 14, huit. XXIII. Ce huitain, publié pour la première fois par Prompsault, se trouve en manuscrit dans l’exemplaire annoté de La Monnoye.

P. 17-19. Les huitains XXXVI-XXXIX, publiés pour la première fois par M. Prompsault, n’étaient