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À l’instant je grondais Morin d’être accessible
Aux propos des journaux, et voilà que j’y crois…
Mon mari !… tous les jours il venait autrefois
Chez ma mère. Grand Dieu ! quelle lumière affreuse !
(Elle reprend le journal.)
Oui, cette histoire, c’est la mienne ! Ah ! malheureuse
Cet homme est mon mari… Cette épouse sans foi,
C’est ma mère… et l’enfant qu’on a vendu, c’est moi !

FIN DU TROISIÈME ACTE.